Ici les différentes rencontres, bouts de chemin artistiques partagés autour du projet « We are not expendable…
Un clip du morceau « Pyramid Theory » du duo electro bordelais. Celui-ci est réalisé avec des images du film « Our friend the atome », réalisé par Walt Disney en 1962.
Olivier Olivero a utilisé en 2016 des photos du projet pour créer la pochette de l’album « Shruti Box » de son projet world-electro « Olivero et Sukh Mahal ».
Le design est réalisé par Les Grasphistoleurs.
Depuis le commencement du projet et ce durant les vernissages, la musicienne Anne Gardey Des-Bois présente une performance sonore chant et machines s’appuyant sur les sons rapportés de mes différents séjours.
Nous en avons étoffé la démarche en l’agrémentant d’une performance vidéo. Celle-ci est composée des différentes photos du projet et d’images d’archives. Cette création scénique a donné lieu à cinq représentations (entre 2015 et 2016) dans différents lieux de la région bordelaise sous la forme d’un «ciné-docu-concert».
C’est ce spectacle qui est à l’origine du film consacré au projet, sorte de documentaire poétique monté en live. Vous pouvez le découvrir ici.
Le teaser du spectacle :
Cette série a été réalisée avec mon amie comédienne, danseuse et musicienne à Bhopal en novembre 2013.
La mode, l’Orient, la consommation, l’image de la Femme, L’Islam, la catastrophe, l’injustice, l’Occident : questions, essais, recherches…
Cette série est dédiée à Rashida Bee (de confession musulmane) qui, suite à la catastrophe, arrêta de porter la burqa.
Fashion in Bhopal:
La Dame rouge :
Vidéo issue d’une création scénique, pour le moment inaboutie, s’appuyant sur l’oeuvre de Svetlana Alexievitch. Ici, c’est « La supplication » – oeuvre réfèrante à propos de la catastrophe de Tchernobyl – qui est citée.
L’auteure biélorusse nous dit ceci :
« Je pose des questions non sur le socialisme, mais sur l’amour, la jalousie, l’enfance, la vieillesse. Sur la musique, les danses, les coupes de cheveux. Sur les milliers de détails d’une vie qui a disparu. C’est la seule façon d’insérer la catastrophe dans un cadre familier et d’essayer de raconter quelque chose. De deviner quelque chose… L’Histoire ne s’intéresse qu’aux faits, les émotions, elles, restent toujours en marge. Ce n’est pas l’usage de les laisser entrer dans l’histoire. Moi, je regarde le monde avec les yeux d’une littéraire et non d’une historienne »